Rien de bien intellectuel rassurez vous : The Hangover 2 nous remet entre les mains de Phil, Stu, Alan et Doug qui ont une fois encore décidé de festoyer dans l'excès ! Alors bien sûr si le décor change (on est en Thaïlande cette fois), l'intrigue peine à se renouveler et on retrouve un scénario copié collé conforme du premier épisode, jusqu'aux photos du générique de fin. Mais est-ce vraiment gênant?
Les acteurs jouent juste (en VO car il paraît que la VF est lamentablement pourrie) et Zack Galiafinakis nous fait hurler de rire. Si cette suite est plus sombre et gore (petits morceaux de doigt inside), elle est aussi plus drôle. On sombre cependant dans la grossièreté facile avec quelques gros plans sur des parties génitales, ce que Very Bad Trip 1 ne se permettait pas.
Les scènes trash n'ont pas trop leur place et imposent une petite perte de vitesse au milieu du film, bien vite oubliée par la suite heureusement. On apprécie les clins d'oeil au volet précédent et les 1h30 de dialogues hilarants passent sans problème.
Very Bad Trip 2, c'est un énorme délire alcoolisé à regarder entre amis, en prenant soin de poser le cerveau à côté du fauteuil. Un very good trip !
[rating:4/5]
+ 1 sur tout l’article. Je vois que je ne suis pas le seul à avoir ressenti un gros moment de flottement au milieu du film ! En ce qui concerne le générique de fin, on ne peut que se féliciter de le revoir dans cet opus car c’est sans aucun doute l’un des moments les plus hilarants du film :D
J’ai bien rigolé pendant une bonne partie du film mais j’avoue que le générique est quand même l’un des meilleurs moments.
Ca aide aussi de le voir dans une salle pas mal remplie où les rires des autres t’aident un peu à sourire dans les moments un peu moins drôles.
Je mets un 7/10
@Fab : Oui un moment bien marrant bien que l’humour soit placé en dessous de la ceinture !
@Darkbazor : Effectivement, les rires des autres personnes aident. D’ailleurs pour avoir regardé le 1 en DVD avec quelques amis, je me suis limite emmerdé alors que j’avais adoré au cinéma.