[Critique Livre] Zoé Sheppard – Absolument dé-bor-dée

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Absolument dé-bor-dée ! a fait polémique lors de sa sortie. La réputation de la fonction publique Française est mise à rude épreuve et cela a valu bien des déboire à l'auteur, Aurélie Boullet. Je n'irai pas par quatre chemins, je n'ai aimé ni le fond, ni la forme. Ce torche-cul indigeste s'embourbe dans une généralisation ridicule et manque cruellement de nuances. Je peux concevoir que le trait soit grossi pour faire sourire mais ici, seules les premières pages dérident le lecteur. Entre anecdotes inintéressantes et convenues, paranoïa de l'auteur qui fustige un népotisme omniprésent selon elle dans l'administration et plume fadasse, on sombre dans la médiocrité.

300 pages de pamphlet dégoulinant de bassesse qui ont en tout cas permis à la miss de s'acheter une belle baraque (300 000 exemplaires vendus) et retrouver son poste d'origine… Une critique peu crédible et mal écrite de la fonction publique territoriale, sacrément injuste vis à vis de ceux qui s'y consacrent.

[rating:2/5]

4 commentaires

  1. Très bon livre que j’ai dévoré en à peine 2-3 jours.
    Acheté par hasard au Relay de la gare de Brest… arrivé à Nantes il ne me restait déjà plus qu’une cinquantaine de page à lire ^^ !!!
    J’adore sa manière d’écrire, le ton qu’elle emploi, très « drôlatique ». Ah la la, Coconne et compagnie :D

  2. Merci pour ta critique, je n’avais pas spécialement l’intention de le lire à l’origine mais là au moins je suis certains de ne pas perdre mon temps dans une lecture inintéressante.

  3. moi je l’ai bien apprecie , et dans un des pays qui comporte le plus de fonctionnaires , on peut effectivement se demander si tout le monde est bien occuppé……

  4. Coucou, me revoilà ^^

    Alors moi j’ai eu l’occasion de le lire. Il y a autant de bonnes raisons de l’aimer que de le détester. Cela dépend des personnes.
    Ce que je pourrais trouver comme point négatif, c’est la récurrence. Je m’explique: du début à la fin, l’auteur ne fait que de baver sur ces collègues peux sympathique.
    Je ne l’ai pas finis, mais me suis vite rendu compte que lire 20 pages, ou tout le bouquin, revenant au même, tant la récurrence est présente.

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